Cher Paradoxe,
L'image de la parabole n'est pas à prendre au sens propre
visiter les prisonniers = aller vers l'Autre...
le prisonnier de la solitude,
le sdf
le vieillard dans l'immeuble ou dans la maison de retraite qui n'a jamais de visite. (j'en connais un de 87 ans, qui il y a cinq ans s'occupait encore de la conférence de St Vincent de Paul dans sa paroisse qui est à 2 minutes à pied de sa maison de retraite... et personne ne lui rend visite... )
nous sommes prisonniers de nous-mêmes
et j'utilise le nous nouant
l'altérité
tenter d'être autre avec l'Autre
chercher ses mots
" le premier désengagement de l'angoisse est l'investissement dans le champ de l'Autre "
il s'agit de reprendre corps dans les Ecritures
et non bien sûr d'aller oeuvrer dans une ong à un moment de dépression.