C'est là tout le problème de l'accueil de l'autre et de ses limites.
Ses limites doivent-elles m'énerver (pourquoi pas, c'est humain) ou bien un dialogue serein est-il possible ?
Et si ce dialogue n'est pas possible, ne vaut-il mieux pas témoigner de son propre vécu, poiur que, même si tous ne l'entendent pas, d'autres puissent être aidés par ce que toi, tu auras à dire ?
C'est ma façon de voir : quand on parle d'accueil inconditionnel, il y a place pour toutes les façons de voir, de comprendre, mais au sein d'un dialogue fructueux et non de phrases lapidaires qui m'apportent rien.
il faut enfin respecter l'évolution de chacun : peut-être que l'autre évoluera avec les années lorsqu'il se sera aperçu que sa conviction d'aujourd'hui n'était pas tenable. N'avons nous pas tous évolué ?
Alors merci d'être tous bienveillants et accueillants.