Une des plus grandes pièces du répertoire français, le Requiem de Gabriel Fauré, a été composée par un athée qui indiquait dans la préface de sa partition qu'il y mettait "toute son énergie religieuse".
Par opposition, on peut aujourd'hui sourire des paroles du Curé de la Madeleine où Fauré était maître de chapelle : "Mais, Monsieur Fauré, n'y-a-t-il pas assez d'œuvres au répertoire de la Madeleine ?".